• Daaaviid;;. Fit une voix dans notre dos pendant que nous atteignions la porte blanche vitrée d'un couloir qui m'inspirait une sorte de terreur profonde. Je me retournais d'instinct alors même que je ne m'appelle pas David. J'aperçois aussitôt deux femmes très correctes dans le genre qui me fait toujours marrer. Des mères de famille qui veulent faire croire qu'elles ont autre chose dans le crâne que ce que peut avoir un type comme moi par exemple. Ou le fameux David lui-même qui les accueille avec une mine de pain d'épice. Le regard sans passion d'un cheval castré. Ma chère Sophie... Il fait à la première qui a pris les devants et s'avance avec un grand sourire. Sans hésiter une seconde j'évalue que cette gonzesse pourrait se révéler un bon coup une fois reprise en main comme il faut. David l'embrasse et en fait autant avec sa copine sans lâcher l'épaule de la première. Sophie se tourne alors vers Monique que je n'ai toujours pas lâché (Ca partouze sec dans le malheur...)et lui sourit. Non. Le terme ne rend pas ce que j'ai pu ressentir avec cette apparition. Elle lui Offre..; Son sourire. Surmonté d'un regard baigné d'une gentillesse et d'une compassion démesurée. J'en suis moi même abasourdie. C'est tellement grand, presque effrayant. Tout ce qui arrive en un instant comme une explosion. Sous ma main Monique qui la fixe fond littéralement. Comme si le malheur qui lui servait de vrai squelette se dérobait et la laissait en plan pareille à une chiffe molle. Mais Sophie ne se contente pas de l'onction étonnante qui me coupe le souffle alors que personnellement je ne devrais pas me sentir concerné. Elle tend ses bras sans jamais la lâcher des yeux et s'empare de sa main qu'elle masse doucement entre les siennes. Nous voudrions vous accompagner dans l'épreuve difficile que vous traversez... Monique se contente de remuer doucement sa tête grise. Fascinée et vaincue. Bien incapable de répondre. Je comprends soudain ce qu'a voulu faire David. Il est tout bonnement allé cherché deux autres professionnelles de sa trempe en ce qui concerne les affaires humaines en général et plus spécialement le malheur. Parce que si ça se trouve je pense. Il en connaît d'autres tout aussi douées pour les affaires moins graves comme les mariages ou les naissances. Des qui savent rire et pleurer de bonheur quand il faut. Et à volonté.. Comme celles-ci ont l'air de parfaitement s'y entendre quand la mort rôde et qu'il n'y a plus rien à faire. Si ce n'est de soulager les vivants ou les empêcher de la suivre dans l'abîme sur un coup de tête et surtout si c'est pas l'heure. Il suffit le plus souvent de tenir jusqu'au lendemain matin pour se réveiller sur une nouvelle planète. Une vallée encore plus douce couverte de vergers aux fruits délicieux.. Après juste quelques petites heures d'un sommeil presque insignifiant.. C'est ça la vie..; Je me dis. Nous sommes des êtres de comédie voués à l'interprétation de leur propre existence. Forcément même à ce jeu là on en trouvera de plus doués que d'autres. C'est vrai aussi que d'un coup je me sens tout petit. Monique aussi qui devient si menue que bientôt elle aura retrouvé la taille de ses cinq ou six ans quand elle pouvait se mettre à pleurer sans que ça donne envie de l'étrangler. Très vite maman ou papa, ou dix autres personnes allaient se précipiter pour essayer de porter à sa place le minuscule fardeau. La suppliant de leur confier la misérable bêtise. Quelle connerie. Ou sont-ils aujourd'hui ceux là.? Monique souffre mille fois plus qu'alors. Elle a un million de fois plus mal. Son malheur est infini. Ses gémissements autrement plus sinistres. Ses plaies que j'ai vu de mes yeux sont puantes et incroyablement douloureuses. Au bord du gouffre elle perd l'équilibre. Elle vit mais c'est pire que la mort. Pourtant c'est maintenant qu'elle doit subir les feux de l'enfer sur terre comme un animal avec personne De Normal.. autour qui comprenne quoi que ce soit de censé à ce qui lui arrive. Parce que la Vie est Tellement Dure pour tout le Monde... Alors très doucement je la lâche et la confie aux professionnelles. La confiance absolue qui vient de naître en moi me porte comme le vent chaud et capiteux. Pour un peu je voudrais être malade moi aussi et sentir une chouette femelle bonne et capiteuse s'accroupir à mes côtés et que j'en profite aussitôt pour lui renifler le cul;;. Pour ne pas changer nous retrouvons le toubib et son équipe sur le pas de la porte. Décidément il campe dans le coin ce dernier. Il a l'air toujours aussi marrant aussi. A croire que la mort le fait rigoler et ce n‘est peut-être pas pour rien qu‘il en a fait son boulot. Ah voilà de la bonne compagnie.. Il fait. David le fixe dans les yeux et je me doute de ce qu'il peut bien lui demander de cette façon. Le toubib qui définitivement a l'air d'un vieux gamin au point que je le vois très bien en culottes courtes, lui répond d'une simple petite moue qui ne m'échappe pas. J'ai tout compris. Il n'y a plus que Monique à ne pas savoir elle qui flotte dans un brouillard dont elle ne redescendra peut-être jamais. Il peut vous dire quelques mots.. Inutile de le fatiguer aussi.. Allez.. Je vous laisse.. On se reverra.. Notre petite bande pénètre dans la chambre sur la pointe des pieds presque. J'ai lâché Monique maintenant que Sophie a pris la relève. A trois mètres de moi j'aperçois une ombre blanche qu'une infirmière recouvre d'un voile avant de s'en aller En Souriant.. Serions nous à la porte d'un paradis ignoré. Je pense. Tout le monde semble devenu si doux et souriant. Tout baigne dans un bonheur calme et compatissant. La lumière elle même surgissant de nulle part nous enveloppe comme une aura. Raymond est devant nous et d'une certaine façon devenu le centre du monde. Je me demande ce qu'il pense lui même de tout ce mic mac et son nouveau prestige. J'aperçois au travers du voile une nouvelle perfusion rajoutée depuis la veille. Directement plongée dans son ventre et certainement à la hauteur de l'estomac. Seuls les yeux bougent encore et se tournent Vers Moi.. Je m'empare sans attendre de sa main à peine tiède. Et je me contente de lui sourire comme l'aurait fait une des professionnelles convoquées par David. J'ai le sentiment de sacrément m'améliorer dans mon numéro d'humain en pleine possession de ses moyens. Je ne suis peut-être pas le plus doué à la base mais heureusement j'apprend vite. C'est d'ailleurs ma principale qualité et c'est bien quand je l'eus épuisé que je suis tombé malade il y a quelques années en arrière. Mais j'ai rechargé les batteries dans le silence et me voilà de nouveau performant. Je fixe Raymond et je sais exactement ce qu'il lui faut. Une bonté amicale et sans frein. Douce et compatissante comme seul un vrai ami peut fournir. Monique se tient à cinquante centimètres entourée de Sophie et de l'autre gonzesse prêtes à la soutenir en cas de défaillance. Cette dernière se contente de sourire pour le moment. Visiblement elles bossent en binôme et je suis impressionné par leur savoir faire. C'est une bonne équipe. La seconde dont j'ignore le nom n'a encore pas sorti un mot. Ni le moindre son. Ce qui importe peu. Son talent est indéniable. L'expression de son visage est unique. Rôdé par des années de compassion généreuse et instantanée. Elle n'est pas moche et loin s'en faut je pense. Si elle ne se montrait pareillement asexuée par cette bonté carnassière et qui lui mange le visage. Raymond lui il faut avouer qu'il est plus que naze et tout l'intérêt se propage à peu près uniquement autour de sa personne. Il est le centre du monde seulement il ne se passe rien au centre du monde. D'autres autour de son cadavre se chargent de singer la vie civilisée. Nos sentiments sont très forts mais cela ne suffit pas. Il faut encore en apporter la preuve civilement. Monique elle même que ferait-elle si elle était moins abrutie par une réalité assommante. A mon avis elle se roulerait par terre. Se tiendrait les tripes en hurlant tout son mal et elle s'en porterait beaucoup mieux. Que ferions-nous les autres autour si nous pouvions laisser libre cours à Ce que Nous Sommes Réellement.. Une grande partouze je suis à peu près sûr...


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  • Monique garda ma main dans la sienne encore une fois. Je compris de suite ce qu'elle aurait voulu.. Que je la prenne dans mes bras et la serre contre moi. Parce qu'elle n'en pouvait plus. Elle était à bout et cherchait une bouée pour s'y accrocher et moi je me trouvais là. A cet instant je sentis la main de David se poser sur mon épaule. Il pouffa discrètement.. Un léger.. Pffh.. C'était à peine une caresse qu'il me faisait près de la nuque. Seulement ce toucher délicat et sans conséquence me poussait en avant. Vers Monique qui gardait ma main entre les siennes. Il dut croire que je ne comprenais pas ce qui se passait et que j‘étais une sorte de parfait innocent. Comme si de tels hommes existent encore de nos jours. Alors que j'étais pleinement conscient sauf que j'en avais pas envie. Puis je l'ai Laissé Venir.. À moi et l'ai serré doucement contre ma poitrine. Elle sentait les larmes et la transpiration, le malheur et la mauvaise graisse. Je lui tapotais doucement le dos comme je l'aurais fait avec un enfant malade ou un petit animal. Je n'aurais rien su faire d'autre et la scène à cet instant questionnait mes limites. En soi elle n'était pas si gênante cette scène. Sauf que je sais d'avance à quel point il est toujours difficile d'en sortir. Puis je ne tenais pas ce que j'appelle une femme Entre Mes Bras.. Mais plus simplement un Être... Et je vais me montrer franc au risque que cela paraisse abrupt. Je ne sais pas quoi faire avec une quelconque de ces grande masses du monde vivant. Je ne sais pas m'y prendre. Elles m'échappent. Je l'obligeais très gentiment à se retourner et à tous petits pas nous prîmes le chemin de la chambre. Je t'attendais. Elle me fit. Je remarquais son dos maintenant arrondi pour toujours. Et comment il va.. Je demandais d‘une voix plaintive. Comme si c'était Moi qui Souffrait.. Et c'est bien pour ça que je confesse mon inaptitude au malheur banalisé... Il passe par plein de stades. Elle reprit de son souffle misérable... Par moments il ouvre les yeux et on dirait presque qu'il va mieux. Et tout de suite après il a les yeux qui tournent et moi quand je vois ça je m'affole;. Je crois qu'il va mourir.. Tu te rends compte;. J'écoutais ses sanglots en me disant que la vie a tord de ridiculiser les petits êtres humains qui sont sa seule richesse. Sans nous elle vaudrait à peine autant et plutôt moins que la plus belle femme du monde perdue sur une île déserte. Quand elle finirait par s'enfoncer un concombre de mer dans le vagin parce qu'à ce niveau le ridicule ne veut plus rien dire et perd toute sa valeur. Il a Fini de Tuer.. L'hôpital aussi est un drôle de laboratoire pour l'humanité. Je connais le lieu commun qui consiste à dire que cet endroit pue la mort, je prétend plutôt que cela ne serait qu'à moitié. Pour la seconde moitié je renifle le sexe et à plein nez. Et comment pourrait-il en être autrement quand les corps sont ici manipulés comme de vulgaires côtelettes saignantes. Si pour un oui ou un non un type ou une gonzesse, peu importe, se retrouve avec un tuyau dans le cul ou ailleurs. Les deux ou trois fois ou je me suis retrouvé à l'hosto dans ma vie;. Je n'avais qu'une idée en tête;. Baiser comme une bête en sortant de là, et c'est pas curieux ça.. Parce que je m'en voulais de prendre la vie au sérieux de la façon où je la prenais quand elle la vie;.; Ne se gêne pas pour me rappeler ce que je suis. Et Durement.. Je voulais en croquer comme on dit.. Pour n'avoir pas à regretter plus tard. Ne cessant de me répéter que j'allais retenir la leçon. La chair humaine ramenée à l'état de matière saignante alors qu'elle peut donner tant de plaisir cette même chair. Pourquoi se priver puisque nous sommes si peu de choses. Un million de fois je tentais de m'arracher ce verni de civilisé qui m'encombre, ces traces indétectables dans mon cerveau et ils peuvent le sonder celui-là, rien à faire aussi;.. la civilisation finit toujours par l'emporter. A me recoller au ras des pâquerettes. Pourtant qu'est-ce que ça doit partouzer dans la chaleur des arrières salles quand ils se rendent compte nuit après nuit ces beaux toubibs que la viande ça pourrit vite et qu'il vaut mieux en profiter tant que c'est possible. Puis de toute façon.. Ça aide à oublier le bain de souffrance du malheur, les larmes amères, l'insensibilité, et c'est tout de même mieux qu'un tube d'antidépresseur. Alors pourquoi se gêner. Une fois les tristes états d'âmes envolés. Une bite dans le cul ça a jamais tué personne, et ce sera toujours plus rigolo qu'une sonde en caoutchouc. Aux Éveillés du Mystère..

     


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  • Je retrouvais David d'une certaine façon. Caractéristique d'une manière de vivre momentanément grisante et séductrice. Propre à me rappeler qu'après l'enfance j'avais oublié d'être jeune et forcément je n‘avais pas connu ça. Par la suite quand je voulus définir cette idée je manquais de conclure que tout ça ne me ressemblait pas. Je grimpais en coup de vent dans sa voiture blanche passe partout et nous échangions une claque sur la main. Grognant de plaisir et sans avancer un mot intelligible pendant qu'il faisait demi tour et démarrait en sens inverse. Plus tard je pensais que cette histoire le temps de quelques éclairs m'enlevait le poids des années. Avant que dans un même mouvement le sort de Raymond me remette les yeux en face des trous et de mon esprit puis m'assomme de toute la masse maudite de la réalité et du temps qui pourrit tout. Alors qu'il conduisait un tout petit peu moins prudemment que la veille vers l'hôpital, j'eus le temps de découvrir que je n'étais ni triste ni gai. Je prenais les évènements comme ils venaient avec le sentiment que c'était bien la première fois de ma vie qu'une pareille idée se vérifiait. Avec une conscience aussi claire, lucide et sans que ça dégénère vers une nouvelle théorie de l‘existence. Tu as passé une bonne journée.. Il me demande en me donnant un coup sur la cuisse. ..Incroyable.. L'effet d'un geste aussi simple. Ce n'était plus la première fois qu'il agissait ainsi et si lui semblait s'y habituer il n'en allait pas de même pour moi. Ca va. Je répondis aussi. J'ai connu des moments intéressants. Ouaih.. Si t'es gentil je te raconterais;;. Je continue. Ah. Donc j'en déduis que cela dut être particulièrement intéressant ou je me trompe... Tu ne te trompes pas. Je lui confirmais en ricanant. Et toi.. Je lui demandais d'une voix pareillement innocente. Mmmh.. Il commença par une grimace. Souvent le soir je cherche à faire un petit bilan de ma journée. Autant que je me souvienne. J'ai commencé très tôt ce genre de petit examen, ou d‘examen de conscience plutôt. N'ayons pas peur des grands mots entre nous.(Il effectua un grand geste comique et théatral avec son bras;.). Je devais être adolescent à peine... Soudainement il se tut. Comme s'il s'était lancé dans une improvisation qu'il ne maîtrisait pas tout à fait où le dépassait et maintenant il se demandait où il en était; Je découvrais alors que curieusement s'il me paraissait si jeune et charmeur j'éprouvais le plus grand mal à l'imaginer en adolescent... Et bien il m'est déjà arrivé alors comme ce soir justement.. Que je serais bien incapable de te dire si ma journée fut bonne ou non. Il soupira. Et à quoi cela tiendrait.. Je relançais. À ton avis. Je fis pour l'encourager à poursuivre. Il hésita et semblait chercher profondément en lui la clé de l'énigme. Il y a forcément deux facteurs. Qui rentrent en jeu dans ce genre de situation. Ce que j'en pense moi même d‘un côté et en premier bien sûr.. Et ce que pourraient en dire les autres.. Pour dire les choses simplement. Une bonne journée pour moi;. C'est peut-être une journée complètement ratée parce que.. Parce que.. Il répéta. J'ai pas très bien fais mon travail.. Je ne me suis pas donné tout le mal qu'il aurait fallu.. Je n'étais pas assez attentif.. J'ai semé quelques doutes sur mon passage.. J'ai Vécu la Journée en Égoïste.. Bon.. Je le coupais. Je ne sais toujours pas si Cette.. Journée dont nous parlons;. fut bonne ou pas.. Aah.. Il soupira. Et bien figure toi que je ne sais pas non plus;.. Je me prenais le front en étouffant un rire que je savais parfaitement éloquent et qui facilement eut pu devenir énorme si je ne m'y étais pris à temps. Qu'est-ce qui t'arrive. Il fit au bout d'un moment. Mais pas du tout vexé. Même je dirais plutôt content de lui dans la mesure où il me prouvait par là que sa vie était loin d'être aussi triste que certains peuvent s'imaginer. Je me croyais compliqué.. Je finis par sortir. Je me rend compte que je ne suis pas le seul sur terre à me poser des questions à la con, matin.. Midi.. Et soir. Ouaih.. Il fit. J'espère au moins que ça te rassure un peu. On peut le voir comme ça...-- Bon. Alors pour en revenir à cette journée... J'ai bien travaillé. Seulement;. Je déprime un peu en ce moment. Je vais te dire. Ca doit être ça... Aujourd'hui par exemple.. j'ai reçu une gonzesse qui est venu me voir pour préparer son mariage.. Putain.. Tu sais ce que ça veut dire le mariage.. Ca veut simplement dire.. Ce que ça veut dire.. (Soufflant profondément..) Elle était là devant moi dans sa petite jupe toute fraîche;. Des cheveux blonds et fins comme des Fils de Lumière... Une peau claire et tendre;. Un curieux parfum aussi que je n'ai pas su reconnaître... Je me tus. Le silence s'installa pendant que défilaient des flancs de montagne taillés à vif et aux bâtons de dynamite pour que puisse y couler la route des hommes. Comme filent nos deux vies justement.. je me permettrais d'ajouter frappé par la précision de l‘image. Puis sans que j'eus besoin d'insister il reprit tout seul le fil de son histoire. Une belle jeune gonzesse qui va se marier;.. T'imagines ce qu'elle va prendre cette nuit là pour fêter l'évènement. Je n'ose même pas y penser.. Elle va se faire Troncher.. Et comme il faut.. De long en large.. Tu peux être sûr.. Ca y est. Je me suis dis. Il est reparti;..


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